« la plus parfaite de toutes les oeuvres d’art est l’édification d’une vraie liberté politique » Friedrich Schiller

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Réunion de la Coalition Internationale pour la Paix

5 juillet 2023

Communiqué de presse

La Coalition internationale pour la paix (CIP) [1], initiée par Helga Zepp-LaRouche, fondatrice et dirigeante de l’Institut Schiller, a tenu sa troisième réunion le vendredi 23 juin 2023. Plus de quarante représentants de dix organisations pacifistes du monde entier ont pris part à cette discussion, portant sur l’urgente nécessité de rassembler diverses organisations pacifistes internationales afin de stopper l’escalade du conflit entre l’OTAN et la Russie, qui risque de dégénérer en guerre nucléaire.

En ouvrant la réunion, Mme Zepp-LaRouche a relevé des développements positifs significatifs au cours de la semaine écoulée, notamment le fait que plusieurs nouvelles personnes avaient rejoint la coalition depuis son lancement le 2 juin, ainsi que la tenue d’une deuxième réunion le 16 juin. Cependant, a-t-elle averti, le danger de guerre s’accroît de jour en jour, car les Britanniques et les Américains augmentent leur aide militaire et financière à l’Ukraine, ignorant l’échec sanglant de la « contre-offensive » de l’armée ukrainienne, qui, avec ses 13 000 jeunes soldats tués ou grièvement blessés, la destruction d’environ un tiers de l’armement occidental récemment fourni à l’Ukraine et l’absence de reconquête significative de territoire, ressemble davantage à une mission suicide.

Evoquant le discours prononcé par Robert F. Kennedy Jr (RFK) le 20 juin, dans le New Hampshire, ressenti comme « une bouffée d’air frais, tellement on n’a pas l’habitude d’entendre un candidat de l’establishment dire la vérité », elle rappela qu’il avait cité le « discours de paix » historique prononcé par son oncle, le président John Kennedy, le 10 juin 1963, qui traitait spécifiquement de l’impact dévastateur d’une guerre nucléaire. RFK a vivement dénoncé la politique de guerre des États-Unis et de l’OTAN en Ukraine, insistant sur le fait que nous devons « nous mettre à la place de nos adversaires ». Après avoir rendu hommage à la Russie pour les sacrifices qu’elle avait consentis pour vaincre les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, il a attaqué le complexe militaro-industriel pour les « guerres éternelles » qu’il mène, martelant que les États-Unis ne doivent pas se comporter comme un « empire ». Pour Mme Zepp-LaRouche, ce discours a ravivé l’espoir de faire revivre l’héritage de JFK.

Les nations du « Sud planétaire » assument désormais une responsabilité internationale, a-t-elle noté. Elles ne permettront pas le maintien du système colonial et travaillent avec les nations des BRICS pour créer un nouveau système financier mondial indépendant du dollar américain « militarisé ».

L’ordre ancien est en train de s’effondrer, a-t-elle déclaré, et ce moment de l’histoire est porteur de grands espoirs mais aussi des plus grands dangers. Elle a appelé le CIP à prendre une expansion internationale, rappelant que lors de la conférence de Bandung de 1955 (la première grande réunion des anciennes colonies en l’absence de leurs anciens maîtres coloniaux), les nations du Sud avaient annoncé que les grandes puissances du Nord lanceraient une guerre nucléaire, qui détruirait aussi les nations du Sud et qu’elles devaient donc agir pour l’empêcher.

Les autres intervenants décrivirent tour à tour leurs activités, notamment les réunions de l’organisation No2NATO au Royaume-Uni, ainsi que d’autres initiatives en Argentine, en Australie, en Inde, à Minneapolis, à New York, à Toledo Ohio, en Espagne, en Écosse et au Texas. On avança des propositions concernant les principaux événements à venir, tous s’accordant pour faire du 6 août, anniversaire de l’annihilation nucléaire d’Hiroshima, une journée internationale d’action, avec des conférences et des manifestations. Beaucoup ont salué la position courageuse de Robert F. Kennedy Jr. contre la politique de guerre, tandis que d’autres notaient que Donald Trump l’avait également dénoncée avec force, annonçant qu’il mettrait immédiatement fin à la guerre en Ukraine s’il était élu. On voit ainsi les principaux candidats des deux partis se prononcer contre la politique de guerre, marquant un possible changement d’état d’esprit dans la population.

D’autres propositions ont été formulées et une plateforme de communication a été mise en place pour permettre aux participants de partager des rapports sur leurs activités et des propositions à l’intention des autres membres du CIP.

Voici quelques extraits des propos de certains participants à la discussion :

Helga Zepp-LaRouche (Allemagne), fondatrice et directrice de l’Institut Schiller :
« La division du monde en blocs ne peut être une solution. Je suis d’accord avec M. Mahathir [l’ex Premier ministre] de Malaisie, qui a dit que si le monde était séparé en deux grands blocs, cela augmenterait également le danger d’une guerre mondiale. Nous devons donc créer un nouveau paradigme. (...) La nouvelle architecture de sécurité et de développement, que nous organisons depuis plus d’un an, reprend l’idée de la paix de Westphalie, à savoir que nous devons trouver une solution qui tienne compte des intérêts de chaque pays de la planète.
« C’est une très bonne chose que notre coalition s’élargisse, que nous trouvions de plus en plus de gens prêts à la rejoindre... Lançons une grande offensive et contactons tous les groupes pacifistes de la planète pour faire une démonstration de force de la volonté du peuple !
 »

Jurgen Wolf (Écosse), No2NATO UK, Workers Party BG :
« Lors de notre réunion du No2NATO UK, nous avons retenu cette date importante du 6 août et nous prévoyons une grande manifestation. Veuillez nous contacter pour obtenir des informations sur le lieu. »

Bernie Holland (Royaume-Uni), No2NATO :
« Je participerai également à la manifestation avec un autre groupe dénommé International Ukraine Anti-Fascist Solidarity. Nous faisons campagne pour qu’une enquête soit menée sur le massacre d’Odessa. Je ferai une présentation basée sur un certain nombre de diapositives qui m’ont été envoyées par un journaliste qui est maintenant en exil… Je vous encourage tous à soutenir la pétition lancée par Code Pink pour mettre Victoria Nuland en quarantaine. »

Oliver Boyd-Barrett (États-Unis), professeur émérite, Bowling Green State University, Ohio :
« C’est de la paix que nous parlons ici. Nous parlons de la recherche de la paix dans un contexte multipolaire. On ne peut pas avoir que des femmes et des hommes blancs... Nous avons donc quelques visages asiatiques en plus. Et où sont les Russes ?
« Hiroshima, le 6 août ? Absolument. Toute initiative de ce type doit être accueillie favorablement. Pour ma part, je préfère les BRICS, les 22 et 24 août. Et si je dis cela, c’est certainement la direction que nous allons prendre. Nous voulons nous éloigner de l’hégémonie américaine et le mouvement international le plus convaincant à ce jour, qui pousse le monde dans cette direction, est sans aucun doute les BRICS. »

Arthur Dawes (États-Unis), Pax Christi :
« Tout d’abord, il nous faut réfléchir à ce qui est dit aujourd’hui. Je crois vraiment que cela fait partie du processus de paix, que nous sommes des artisans de la paix. Et lors de cette réunion et d’autres réunions similaires, je suis convaincu que nous apportons la paix. Pax Christi Texas (...) organisera la semaine prochaine un forum public pour réfléchir au discours de John Kennedy. Nous invitons les membres et amis à y participer. »

Atul Aneja (Inde), journaliste :
« C’est l’une des plus grandes provinces de l’Asie du Sud-Est, avec ces vastes étendues de terre où se déroulent de nombreux conflits, qui menacent les territoires stables voisins. C’est pourquoi, lorsque nous parlons du processus de paix et de la paix mondiale, nous ne devons pas oublier le centre, la région indo-pacifique, qu’on peut, si l’on veut, appeler Asie-Pacifique, mais il ne faut pas oublier que de nombreuses communautés sont réellement touchées. Beaucoup d’anciennes violences et de conflits sont ravivés au moment même où nous parlons. »

Darrell Nichols (États-Unis), évêque de Toledo, Etat de l’Ohio :
« Il s’agit d’avancer vers une paix, une résolution pacifique au sein d’une population qui ressemble beaucoup à Rip Van Winkle. Ils dorment encore sous les arbres, ils dorment pendant une révolution et ils ne le savent pas. Alors, si je peux apporter quelque chose, ma voix… Je suis en train de reconstituer mon studio. J’ai travaillé avec eux ces derniers mois pour essayer de m’organiser et nous voulons sortir mon premier épisode. »

Balkrishna Kurvey (Inde), président de l’Institut indien pour la paix, le désarmement et la protection de l’environnement :
« Dans mon institut, en Inde, nous avons créé le musée de la paix ‘No More Hiroshima, No More Nagasaki’. Et nous éduquons les étudiants, la prochaine génération, parce qu’ils sont les futurs dirigeants politiques. Quiconque voit les photos des bombardements de Nagasaki et d’Hiroshima ne pourra jamais dire que nous devrions avoir une guerre nucléaire. Nous montrons ces photos dans toute l’Inde. »

Juan Carrero (Espagne) :
« Je me souviens que notre programme de non-violence est celui de Gandhi et de Martin Luther King. Ils ont toujours été une grande source d’inspiration pour nous. C’est à partir de cette réflexion que nous sommes arrivés ici et que nous avons prié. »

Donald Ramotar, ancien président du Guyana :
« La question de l’anniversaire d’Hiroshima est extrêmement importante. Nous ne devons pas manquer cette occasion, car elle est directement liée à ce qui se passe aujourd’hui. Je ne sais pas ce que nous pouvons faire, mais si nous pouvons impliquer le mouvement ouvrier, en particulier aux États-Unis, au Canada et dans d’autres pays qui, le 14 septembre, célèbrent la fête du travail et la liberté. Essayons d’impliquer plus directement les travailleurs et de les faire s’asseoir et s’intéresser à ce qui se passe, parce c’est une question qui concerne aussi la classe ouvrière. »

Alessia Ruggeri (Italie), syndicaliste :
« Le risque de voir se développer deux blocs est très avancé. J’ai lu récemment qu’il y aurait des jeux olympiques de l’amitié auxquels participeraient de nombreuses nations des BRICS. En Italie, on pense à tort qu’il faut annuler la participation des athlètes russes, ce qui n’est pas envisageable... Je pense que nous devrions mener une action unique, représentant tous les États, pour nous rendre physiquement sur place en guise de message d’amitié. Nous devrions rédiger des communiqués et les envoyer aux agences de presse pour les informer de cette initiative, en particulier celle du 6 août, pendant les manifestations que nous organisons. »

David McIlwain, militant pour la paix, (Australie) :
« Je ressens une déconnexion extraordinaire, dans l’esprit des gens, avec l’OTAN et les médias occidentaux. Ils n’arrivent pas à se réveiller. Je suis d’accord pour dire qu’il faut contacter les groupes pacifistes. Ceux avec lesquels je suis en contact en Australie ne se concentrent pas suffisamment sur cette réalité et je pense que nous devons peut-être aller plus loin en contactant les politiciens. »

Ruben Dario Guzzetti (Argentine), analyste des affaires internationales, Institut argentin d’études géopolitiques (IADEG) :
« Dans le cadre de nos études géopolitiques et de notre mouvement pour la solidarité et la paix, nous avons convenu d’organiser une réunion début juillet, avec tous ceux qui peuvent participer à ce thème de la paix et à la lutte pour la paix...Nous devons continuer à nous battre, non seulement contre les armes nucléaires, mais aussi pour la paix... Il serait intéressant que le 6 août, on dise : Hiroshima et Nagasaki, ‘plus jamais ça !’ »

Ray McGovern (États-Unis), ancien analyste principal de la Central Intelligence Agency (CIA) ; membre fondateur de Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS) :
« Je suis analyste du renseignement. J’attends avec impatience les prochaines semaines. Comme je l’ai déjà dit, les élections auront lieu dans seize mois. Si nous survivons jusqu’à cette date, à quoi devons-nous nous attendre ? (...) Nous avons été avertis par Zelensky lui-même et par le chef militaire de Kiev que les Russes ont miné la centrale nucléaire de Zaporijjia et qu’ils vont la faire exploser. Cela ne ressemble-t-il pas à une attaque sous faux drapeau ? Pour moi, oui ! Nuland est-elle capable d’autoriser ce genre de choses ? Compte tenu de la débâcle qui vient d’être décrite concernant la contre-offensive ukrainienne, je ne l’exclurais pas.
« Le 6 août ? Eh bien, c’est encore loin dans mon horizon. Mais si nous arrivons à cette date, c’est l’anniversaire d’Hiroshima. Faisons en sorte d’éduquer les gens à l’Ouest, à l’Est et partout dans le monde sur le fait que la bombe atomique n’était pas nécessaire pour mettre fin à la guerre.
 »

Terri L. Strong, ministre AME de Memphis, Tennessee, présidente du comité Actions et préoccupations mondiales de l’Église des femmes unies :
« L’une des principales choses que j’ai vu les grands médias faire si bien, c’est d’utiliser une stratégie d’élimination de la vérité et de promotion de la tromperie. L’une de mes suggestions pour les médias indépendants est donc de faire exactement le contraire, d’éliminer la tromperie et de promouvoir la vérité, ce qui est souvent difficile à ‘reprogrammer’. Mais cela doit être une constante. Robert F. Kennedy Jr. est l’un de ceux qui ont fait preuve d’une grande diligence pour essayer de faire exactement cela, supprimer le mensonge et promouvoir la vérité. Il a été cohérent dans toutes ses façons de faire, et je suggérerais que tous les médias en fassent autant. »

Jimmy Gerum (Allemagne), Lighthouse Media :
« Il est très important que nous nous réunissions et que nous trouvions des moyens d’apprendre les uns des autres. C’est formidable à chaque semaine. Et je voudrais ajouter un appel à l’action spécifique, parce qu’il est toujours bon de savoir ce que nous pouvons tous faire pour la paix. Certains d’entre vous savent déjà que je travaille pour l’initiative de paix Lighthouse Germany et que nous avons analysé le point faible des puissances de guerre internationales : l’opinion publique. Il s’agit de l’opinion publique  ! »

Diane Sare (États-Unis), candidate au Sénat américain, New York :
« Ce qui me dérange, c’est de voir qu’il y a des gens comme Jimmy Dore, qui ont plus d’un million d’amis en ligne. Scott Ritter est suivi par de nombreux auditeurs qui écoutent tous les podcasts auxquels il participe. Au rassemblement de Rage Against the War Machine, il y avait 3500 personnes, ce qui est très bien. C’est en effet la plus grande manifestation anti-guerre depuis le début de la guerre en Irak, en 2003. Mais d’un autre côté, on peut se demander comment mettre en action toutes ces personnes qui écoutent. Et je pense que c’est possible.
« Nous avons les candidatures de Trump et de Robert Kennedy, qui sont anti-guerre. Ce qui veut dire que la majorité du peuple américain en a vraiment assez et ne veut pas de cette guerre.
Ce qui manque en partie, ce sont deux éléments : j’ai choisi les invités de ce soir, parce que mon intention avec ce programme est d’effrayer les gens en leur expliquant pourquoi ils ne peuvent pas continuer à faire comme si de rien n’était et qu’il ne suffit pas d’être spectateur. Il faut agir. Je pense qu’il est extrêmement difficile pour chacun d’entre nous, sur le plan psychologique et émotionnel, de supporter la tension que représente le danger d’anéantissement de l’espèce humaine. C’est pourquoi la musique, l’art, la poésie, Friedrich Schiller sont si importants, mais aussi la vision du nouveau paradigme pour remplacer l’actuel.
 »

Anastasia Battle (États-Unis), militante et rédactrice en chef du magazine Leonore :
« Nos groupes de paix sont disséminés à travers le monde mais les gens ne sont pas assez coordonnés, et du coup, ils se sentent très isolés. Si nous unissons nos compétences, nos forces et nos talents pour mettre fin à la guerre nucléaire, nous pourrons y parvenir. Ce groupe fonctionne comme un comité de pilotage des différentes initiatives et idées. Les personnes ici présentes ont beaucoup d’expérience en la matière, ce sont des hommes et des femmes d’action, qui dirigent des organisations ou des associations, y compris religieuses. Nous nous réunissons donc pour rassembler nos forces afin d’atteindre l’objectif d’arrêter la menace de guerre thermonucléaire. Au rythme où vont les choses, il est fort probable qu’elle se produise. Et nous ne pouvons pas laisser cela se produire ; nous devons accepter que l’issue finale, en ce moment, repose sur nos épaules. »

Dennis Small (États-Unis), du magazine Executive Intelligence Review :
« L’intérêt de ce dialogue entre le Sud et ce que nous faisons aux États-Unis et en Europe, pour atteindre, au plus haut niveau, un accord représentant l’intérêt commun, dont Helga a parlé dès le début, s’applique à la fois à la lutte pour un nouveau paradigme dans le mouvement pour la paix dans nos pays, mais aussi aux questions économiques. Tout ce que nous ferons en vue de cet événement du 6 août sera très important à cet égard. Il est remarquable que le Pape, Lula, et d’autres voix qui jouent un rôle de premier plan dans l’organisation de la paix, se retrouvent tous sur l’urgence du développement économique comme étant le meilleur moyen de construire une paix réelle. Cette approche combinée est exactement celle qu’il faut. Alors, je m’adresse à vous les jeunes : faisons en sorte que davantage de jeunes participent à cette réunion et au séminaire que nous organisons dans les deux prochaines semaines. Nous voulons en faire un point de départ, une piste de décollage pour renforcer nos actions prévues pour le 6 août. Ensuite, nous combinerons ces efforts avec ce qui se passe autour des activités des BRICS au niveau mondial. »

Maurizio Abbate (Italie), président de l’ENAC, Ente Nazionale Attività Culturali, Italie :
« Nous devons agir de manière plus décisive, en créant une synergie entre différents groupes au niveau planétaire afin de diffuser ces informations sur d’autres canaux. Nous savons que les médias sont dirigés par ceux qui ont intérêt à ce que la communication soit corrompue. »

Père Harry Bury (Etats-Unis), Archidiocèse de Saint-Paul à Minneapolis, Etat du Minnesota :
« Ce n’est pas parce que les gens font de mauvaises choses qu’ils sont mauvais. Cela signifie qu’ils ne savent pas faire mieux. L’objectif n’est donc pas d’utiliser la violence et de les punir, mais plutôt d’utiliser l’amour, et de rechercher la justice en les aidant à comprendre que ce qu’ils font n’est pas dans leur propre intérêt ni dans celui du monde. C’est donc sur ce verset que nous nous sommes concentrés pour rassembler les gens, pour réaliser que c’est ensemble que nous pouvons faire la différence et pour nous encourager à ne pas perdre la foi dans la possibilité d’avoir la paix dans le monde. »

Etaient présents :

Jose Vega (Etats-Unis), militant de l’Institut Schiller
Sam Pitroda (Inde/États-Unis), innovateur télécommunications et technologies de l’information
Frank Kartheiser (Etats-Unis), Catholic Workers
Joyce Hall (Etats-Unis), Pax Christi
Karen Ball (Etats-Unis), Pax Christi
Chris Fogarty (Etats-Unis/Irlande), leader irlando-américain
Jack Gilroy (Etats-Unis), Pax Christi, NY State/ Pax Christi International ; membre du conseil d’administration des New York Veterans for Peace
Mari Correggio (Italie), Non à l’OTAN
Robert Cushing (États-Unis), président du comité de non-violence de l’Association des prêtres catholiques des États-Unis (AUSCP)
Martha Rollins (Costa Rica)
Ulf Sandmark (Suède), président de l’Institut Schiller
Wolfgang Effinberger (Allemagne)
Enzo Pennetta (Italie)
Fredrick Weiss (Etats-Unis)
Kallol Bhattacherjee (Inde), journaliste
Christine Bierre (France), Solidarité & progrès.

Pour nous contacter :
infos@institutschiller.org


Notes

[1La CIP réunit des associations et mouvements pour la paix du monde entier. Elle se réunit tous les vendredi, par zoom, pour délibérer sur les mobilisations à lancer. Si vous souhaitez y participer, veuillez nous écrire à instschiller_france@institutschiller.org, en précisant le sujet (CIP).

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