« la plus parfaite de toutes les oeuvres d’art est l’édification d’une vraie liberté politique » Friedrich Schiller

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Chronologie

6 novembre 2011

La chronologie suivante présente les principales initiatives de l’Insitut Schiller dans les domaines de la science et de la culture, de l’économie et de la politique internationale.

1984

  • Création de l’Insitut Schiller dans le contexte d’une grande conférence internationale à Arlington (Virginie, Etats-Unis) les 3 et 4 juillet. L’Institut Schiller s’opposait alors à la fois au système soviétique et à l’odre du Fonds monétaire international. Il a organisé entre 1984 et 1989, jusqu’à la chute du Mur, de très nombreuses conférences pour proposer une option positive face à ces deux dangers.
  • En France, il a fait paraître en septembre un « Appel aux patriotes et aux citoyens du monde » dans le journal Le Monde.
  • En septembre, 60 représentants de la France ont participé à une conférence internationale à Wiesbaden, en Allemagne, pour le lancement de nos activités en Europe.
  • En novembre, à Paris, lors d’un festival culturel, le théâtre amateur de l’Institut à mis en scène la Jeanne d’Arc de Schiller.
  • Implantation de l’Institut Schiller en France et en Belgique.
  • L’Institut Schiller publie sa Déclaration des Droits inaliénables de l’Homme, ainsi qu’un manifeste pour une politique étrangère républicaine.

1985

  • Lors d’une conférence dans la région de Washington D.C., l’Institut Schiller présente un ambitieux projet de colonisation de la planète Mars, inspiré des travaux du grand pionnier Kraft Ehricke et devant servir de tremplin pour une nouvelle révolution industrielle à l’échelle de toute l’humanité.
  • Février : Défilé-manifestation et conférence à Paris « Cent jours pour sauver l’Afrique ».
  • Avril : Manifestation à Strasbourg de 2000 personnes pour sauver l’Afrique.
  • Mai : Conférences sur le développement de l’Afrique à Paris et à Dusseldorf.
  • Novembre : Création d’une commission d’enquête sur les crimes contre l’humanité.
  • Publication de Friedrich Schiller, Poète de la Liberté.

1986

  • Conférence à Paris pour la création d’un comité d’action pour le développement Nord-Sud.
  • Création d’une commision agricole pour lutter contre le pouvoir des cartels agro-alimentaires.
  • Publication d’une brochure Pour un nouvel ordre économique mondial.

1987

  • Mai : LaRouche lance un avertissement de krach boursier pour le mois d’octobre et exige de mettre un terme immédiat à la dérégulation financière tout en remettant l’emphase sur la reconstruction de l’« économie réelle ».

1988

  • Octobre : Dans un discours prononcé à l’hôtel Kempinski de Berlin, LaRouche propose aux dirigeants soviétiques, à condition qu’ils laissent l’Allemagne se réunifier, un plan d’aide alimentaire global pour le bloc de l’Est ainsi qu’un programme de modernisation de l’infrastructure de la Pologne, sans aucune interférence occidentale dans la politique intérieure de ce pays.

1989

  • Dans le contexte de la chute du Mur de Berlin, l’Institut Schiller publie, sur le modèle de l’« Europe de l’Atlantique à l’Oural » de de Gaulle, un vaste plan d’intégration des économies d’Europe centrales et de l’Est, intitulé Le Triangle productif Paris-Berlin-Vienne, locomotive de l’économie mondiale, visant à reconstruire l’infrastructure de ces pays. Ce programme sera traduit dans un dizaine de langues et diffusé à plus de 100 000 exemplaires.

1990

  • L’Institut Schiller s’oppose fermement à la thérapie de choc du FMI dans les pays d’Europe centrale et de l’Est, visant à démanteler les usines et à recycler la main d’oeuvre dans des tâches subalternes et non qualifiées.
  • Mobilisation contre les plans de guerre de George Bush et Margaret Thatcher dans le Golfe persique, visant à saboter la réunification allemande et à empêcher la mise en oeuvre d’un nouveau Plan Marshall en Europe centrale et de l’Est.

1991

  • Série de conférences sur le Triangle productif Paris-Berlin-Vienne à Berlin, Varsovie, Prague, Bratislava, Budapest, Paris et plusieurs villes d’Amérique du Nord.
  • L’EIR publie plusieurs rapports, dont l’un intitulé La théorie de la banque nationale hamiltonienne, dénonçant la croissance fulgurante des produits dérivés comme instruments de spéculation associés à la politique monétaire irresponsable d’Alan Greenspan à la tête de la Réserve fédérale américaine.

1992

  • LaRouche dénonce la duplicité de l’administration Bush et du gouvernement Major vis-à-vis de la Bosnie et de la Croatie, et les efforts britanniques pour enliser les Balkans et l’Europe centrale dans un long conflit et diminuer la portée de la réunification allemande.
  • L’Institut Schiller organise, conjointement avec l’Université des lettres et l’Université ukrainienne de Moscou, une conférence dans la capitale russe sur le Triangle productif Paris-Berlin-Vienne comme alternative à la thérapie de choc du FMI.

1993

  • L’EIR publie un rapport spécial intitulé Les produits dérivés, une bombe H financière, qui sera également traduit en allemand et en français.
  • L’Institut Schiller lance une campagne internationale pour un retour au diapason de Verdi et pour raviver l’art du Bel Canto, lors d’un forum et de Master Class avec le tenor italien Carlo Bergonzi au Carnegie Hall de New York. Une série de concerts en l’honneur de Marian Anderson est également inaugurée au Constitutional Hall de Washington D.C., et dans plusieurs autres villes des Etats-Unis afin de promouvoir les negro spirituals associés à la grande tradition de chant classique américaine.

1994

  • Août-septembre : Mobilisation internationale contre la Conférence des Nations unies sur la population au Caire, en Egypte, pour empêcher que les aides aux pays en voie de développement soient soumises à des objectifs forcés de réduction démographique.

1996

  • Mai : Helga Zepp LaRouche est invitée à Beijing à prendre la parole devant le Symposium international sur le développement économique des régions longeant le nouveau Pont terrestre eurasiatique.

1997

1998

  • Février : L’Institut Schiller participe à l’organisation d’un séminaire et d’un concert avec le chœur de l’église Saint-Thomas de Leipzig, le plus célèbre et aussi le plus ancien choeur de jeunes garçons au monde, à la Basilica of the National Shrine of the Immaculate Conception de Washington D.C.
  • Octobre : Helga Zepp LaRouche dirige une délégation de l’Insitut Schiller en Chine pour participer à une conférence sponsorisée par le Bureau des affaires étrangères de l’Académie chinoise des sciences sociales sur le Second pont terrestre eurasiatique.

2000

  • Avril : Appel à la création d’un Comité ad hoc pour un nouveau Bretton Woods, adressé au président et aux membres du Parlement européen, signé par de nombreuses personnalités et parlementaires européens (italiens, français, allemands, danois...). Diverses manifestations sont organisées pour appuyer cet appel.
  • Juin : Conférence à Rome (au Cenacolo du Parlement italien) avec Lyndon LaRouche, sur l’effacement de la dette extérieure des pays pauvres et la réorganisation du système financier mondial.
  • Novembre : Conférence à la mosquée Adda’wa (Paris) sur l’oecuménisme et le dialogue des civilisations.

2001

  • Mai : « Non au démantèlement de l’Ibéro-Amérique ». Série de conférences en Amérique latine.
  • Juin : Conférence à Bad Schwalbach, Allemagne, sur le thème « Une bataille oecuménique pour le bien commun ». Conférences à Belgrade et Novi-Sadr pour une paix par le développement mutuel entre Etats-membres de l’ex-Yougoslavie.
  • Juillet : « Comment surmonter l’effondrement financier », conférence de l’Institut Schiller à Moscou devant la Commission économique de la Douma.
  • Suite aux tentatives d’exploiter les attentats du 11 septembre en faveur de la thèse du choc des civilisations, Helga Zepp-LaRouche lance une « Invitation à participer à un dialogue international des cultures ».
  • Octobre : « Giuseppe Verdi, compositeur, dramaturge et patriote », conférence à Milan, Italie.
  • Décembre : « L’Andalousie, une porte vers la Renaissance », conférence à Evry (France) et à Wiesbaden (Allemagne).

2002

  • Janvier-juin : Conférences en Russie, aux Etats-Unis et en Allemagne sur l’infrastructure du Pont terrestre eurasiatique.
  • Campagne pour l’interdiction des jeux vidéos violents. Conférences en France (Marseille, Toulon, Paris).
  • Juin : Conférence de M. et Mme LaRouche à Abou Dhabi sur le dialogue des cultures contre la guerre des civilisations et l’enjeu stratégique de l’Asie du Sud-Ouest.
  • Novembre : Conférence de Jacques Cheminade avec l’Institut Schiller, la Fédération romande de l’Energie et les Electriciens romans à Lausanne (Suisse) sur l’avenir du nucléaire et le développement du tiers-monde.

2003

  • Avril : Lors d’une conférence internationale de l’Institut Schiller, à Bad Schalbach, en Allemagne, réunissant des participants de 45 pays, une déclaration condamnant la guerre d’aggression contre l’Irak est adoptée, et appelant à la mise en place de nouvelles institutions internationales servant l’intérêt des peuples, en établissant les bases d’un nouveau Bretton Woods.
  • Mai : Conférence à Paris sur le thème « Le Traité de Westphalie ou la défense de l’Etat-nation souverain ».
  • Août : Académie d’été à Francfort, centrée sur l’oeuvre du mathématicien Bernhard Riemann et de l’éducateur Friedrich Herbart.
  • Octobre : Conférence de Lyndon LaRouche (introduit par Jacques Cheminade) au Club 44 de La-Chaux-de-Fonds (Suisse), sur le danger d’une nouvelle guerre mondiale et l’urgence d’une réforme du système financier international.
  • Création du mouvement international des jeunes larouchistes (LYM) opposé à l’idéologie néo-conservatrice et travaillant à se réapproprier les grandes découvertes de la culture et de la science occidentales.

2004

  • Janvier : Conférence à Paris sur le thème « L’Europe et la Révolution américaine – sa véritable histoire et son actualité ».
  • Avril : Visite de Lyndon LaRouche et de l’Institut Schiller à Moscou. Conférence à l’Institut Vernadski (Musée géologique national) devant quelque 80 scientifiques, étudiants et journalistes.
  • Septembre : Conférence internationale de l’Institut Schiller à Wiesbaden (Allemagne) sur le « Rôle de l’Europe, la paix en Asie du Sud-Ouest ».
  • Décembre : Conférences à Paris et Berlin : « Pourquoi l’austérité mène au fascisme -Schacht et Hitler contre Roosevelt ».

2005

  • Tournée en France, en Allemagne et en Italie d’Amelia Boynton Robinson, vice-présidente internationale de l’Institut Schiller, figure dominante du mouvement américain pour les droits civiques aux côtés de Martin Luther King, visant à promouvoir l’émergence du mouvement des jeunes larouchistes et la bataille pour un renouveau économique et social, ainsi que pour éveiller les citoyens européens à l’existence de la « vraie Amérique », celle des droits civiques rejetant la guerre et la torture de l’administration Bush-Cheney.
  • Publication du rapport Synarchie et stratégie de tension.
  • Mai : Formation musicale avec Norbert Brainin, premier violon du quatuor Amadeus.
  • Juin : Séminaire à Berlin : « Sur la voie d’un nouveau Bretton Woods. Comment déterminer la juste valeur d’une monnaie ? »
  • Juillet : Conférences pour le 200e anniversaire de la mort de Friedrich Schiller en Allemagne, Italie et France. Voir Qui est Schiller et pourquoi l’étudier en 2005 ?
  • Novembre : Conférences en France sur le Don Giovanni de Mozart. Musique et loi naturelle.
  • Décembre : Conférence à Lunéville (France) sur « L’Exemplarité de l’oeuvre d’Henri Grégoire et de Lazare Carnot ».

2007

  • Conférence internationale de l’Institut Schiller à Kiedrich, en Allemagne, sur le Pont terrestre eurasiatique et le projet de tunnel sous le détroit de Béring, réunissant plus de 350 scientifiques, économistes et activistes de plus de 40 pays.
  • Conférence internet du 25 juillet de Lyndon LaRouche, au cours de laquelle il annonce l’inéluctabilité et l’imminence de l’effondrement du système financier international, en raison de l’éclatement de la bulle des produits dérivés. (La bulle devait éclater le 28 juillet, soit 3 jours plus tard.)
  • Renouvellement de l’appel du Comité ad hoc pour un nouveau Bretton Woods (publié en 2000), afin de mettre le système international en règlement judiciaire, rétablir des parités fixes entre les monnaies, interdire les produits financiers hyper-spéculatifs comme les produits dérivés, réorganiser les dettes et démarrer la construction du Pont terrestre eurasiatique.

2008

2010

  • Novembre : Réunion à Paris, sur le thème « Un coup de poing transatlantique contre l’oligarchie financière », où est discutée la perspective d’une séparation des activités bancaires de part et d’autre de l’Atlantique (un Glass Steagall global) et la mobilisation de crédit productif pour de grands projets dans le domaine de l’eau tels NAWAPA en Amérique et la revitalisation du lac Tchad en Afrique (projet Transaqua).

2011

  • Juillet : Conférence de l’Institut Schiller à Russelsheim, en Allemagne, avec 500 participants venus de toute l’Europe, des Etats-Unis et de Russie, dont des scientifiques, économistes, agriculteurs, élus, syndicalistes, musiciens, ingénieurs et militants, sur les moyens permettant de rétablir la confiance et la souveraineté de l’individu dans le combat pour « Sauver l’humanité de l’abîme ».

2012

Conférence internationale de l’Institut Schiller pour « un nouveau paradigme pour la survie de l’humanité ». 300 participants venus de 25 pays d’Europe, d’Afrique, du Moyen-Orient et des Etats-Unis se sont réunis les 24 et 25 novembre près de Francfort, en Allemagne.

2013

Quatrième conférence internationale de l’Institut Schiller visant à élaborer un nouveau paradigme pour la survie de l’humanité. Pour cet événement des participants venus de tous les continents se sont réunis les 13 et 14 avril 2013 à Flörsheim, près de Francfort en Allemagne.

2014

  • Octobre : Conférence à l’occasion du 30e anniversaire de l’Institut Schiller, à Francfort (Allemagne), intitulée « La Nouvelle route de la soie et le programme lunaire chinois ». Se sont succédés à la tribune des figures politiques, des industriels, des économistes, des stratèges et des analystes de plusieurs pays membres ou proches des BRICS, dont la Chine, l’Inde et l’Iran, ainsi que de nombreux pays d’Europe de l’Est et de l’Ouest, sans oublier les Etats-Unis et l’Australie. La conférence a rassemblé plus de 350 participants.
  • Novembre : Dans le contexte d’une politique d’affrontement avec la Russie et la Chine, qui ne peut que conduire à une destruction générale, l’Institut Schiller a lancé une pétition appelant les Etats-Unis et l’Europe à rejeter la géopolitique et à collaborer avec les BRICS. Elle est signée par plus de 400 personnalités politiques, et autres, à travers le monde.

2015

  • Février : Séminaire à paris sur le système gagnant-gagnant des BRICS, pourquoi cette alliance formée de grands pays émergents (Brésil, Inde, Chine et Afrique du Sud) et de la Russie, est la clé pour relancer la croissance dans le monde et créer, par la coopération économique, les conditions d’une paix très menacée aujourd’hui. Cette rencontre s’inscrivait dans une offensive internationale, répondant à d’autres séminaires sur le même sujet tenus à New York, Copenhague, Berlin et Francfort. Elle a rassemblé une cinquantaine de membres du corps diplomatique, analystes, cadres d’entreprise et personnalités engagées.
  • Mars : Conférence à New York sur « Les BRICS : une option sûre pour éviter une troisième guerre mondiale » avec près de 250 participants.
  • Juin : Grande conférence internationale à Paris pour « Rebâtir le monde à l’ère des BRICS » à la quelle participa près de 500 personnes dont d’éminents représentants de trois des cinq pays composant les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et des pays qui leur sont associés, ont participé. L’objectif de cette conférence était de faire souffler en France et en Europe le vent de progrès qui vient des BRICS et de leurs alliés, face à un ordre international qui n’a plus rien d’autre à offrir que le retour des Empires, la guerre de tous contre tous et le pillage systématique des peuples et des biens publics.
  • Août : Helga Zeep-LaRouche lance un nouvel appel international « pour arrêter la menace immédiate d’une Troisième guerre mondiale » en exigeant qu’on mette immédiatement un terme à la confrontation engagée contre la Russie et la Chine et que l’on revienne au recours à des solutions politiques à tous les conflits.
  • Septembre : La provocation de l’OTAN vis-à-vis de la Russie et de la Chine se poursuit et s’intensifie au point de rendre presque certaine une guerre thermonucléaire mondiale. Pour sauver la paix, Helga Zepp-LaRouche appelle à l’action, tous les chefs d’Etat qui se réuniront le 24 septembre à l’Assemblée générale de l’ONU.
  • Novembre : Estimant que la vie ou la mort de milliards d’individus sera à la merci de ce qui se décidera, sans aucune justification légitime, lors du sommet international sur le climat (COP21) organisé par les Nations unies à Paris en décembre 2015, l’Institut Schiller lance une résolution pour exiger l’annulation pure et simple du sommet.
  • Novembre : Dans le cadre du projet « Manhattan » (mouvement de renaissance et de chorales, lancé par Helga Zepp-LaRouche pour inspirer la population par la beauté du grand art, et libérer les États-Unis de leur condition de barbarie ), célébration à New York de l’anniversaire de Friedrich Schiller (1759-1805), le poète et dramaturge allemand, grand défenseur des idées de la Révolution américaine contre la féodalité en Europe et dans le monde et qui a inspiré le nom à l’Institut.

2016

  • Mars : Helga Zepp-LaRouche participe au Dialogue de Raisina à New Delhi. Co-organisée par le Ministère indien des affaires extérieures, cette conférence a rassemblé plus de 600 invités, venant de 100 pays du monde dans le but « d’explorer les perspectives et les opportunités pour une intégration asiatique ainsi qu’une intégration de l’Asie dans le reste du monde ». Les discussions portaient sur la nécessité d’accroître la coopération économique, humaine et digitale entre pays asiatiques, ainsi que les partenariats internationaux nécessaires pour faire face efficacement aux défis du XXe siècle.
  • Mars : Séminaire diplomatique à Francfort, intitulé « La solution à la crise migratoire passe par la Nouvelle route de la soie » avec des représentants Allemands, Suisses, et Syriens.
  • Avril : La conférence internationale « Construire un Pont terrestre mondial : Inspirer l’humanité pour qu’elle accomplisse sa mission », organisée le 7 avril à New York, a mis en évidence le potentiel qu’ont les États-Unis pour rompre avec l’approche destructrice de la géopolitique et l’effondrement économique et pour renouer avec leur identité historique de nation créatrice. Quelque 300 personnes ont répondu à l’appel, représentant de nombreux états du pays et aussi de pays d’Asie, d’Afrique et d’Europe.
  • Juin : Conférence internationale à Berlin « Créer un avenir commun pour l’humanité et une renaissance de la culture classique ». Plus de trois cents personnes venant de vingt-quatre pays et de quatre continents ont engagé, les 25 et 26 juin à Berlin, un dialogue approfondi sur la façon d’empêcher l’éclatement d’une nouvelle guerre mondiale et d’instaurer un nouveau paradigme de développement mutuel, fondé sur un dialogue des civilisations et sur cette qualité unique à l’homme, la créativité. Mise en garde par les orateurs contre le danger de voir l’affrontement occidental avec la Chine et la Russie dégénérer en guerre thermonucléaire, les participants ont lancé un appel à lever immédiatement les sanctions occidentales contre la Russie et la Syrie, et à rétablir des négociations de paix. Mettre fin à la guerre et commencer à reconstruire la Syrie et toute la région de l’Asie du Sud-ouest fut l’un des principaux objectifs débattus à la conférence.
  • Juin : Concert consacré au « dialogue musical des cultures » organisé dans le cadre de la conférence internationale à Berlin, dans l’église Saint-Mathieu de Berlin-Steglitz, par NICE (Network for International Cultural Exchange) et l’Institut Schiller. Ce concert, accordé au diapason de Verdi (avec un la à 432 Hz et non à 440, comme le diapason actuel) donna à l’auditoire l’occasion d’entendre tour à tour des œuvres classiques européennes, interprétées par l’orchestre de chambre Camerata Geminiani, le chœur international de l’Institut Schiller et d’autres musiciens, alternant avec des chansons folkloriques de Russie, d’Ukraine et de Chine, interprétées par des chœurs russes et chinois.

2017

  • Février : Suite à un aveu de Mario Draghi, alors président de la BCE, sur la nature des banques européennes, l’Institut Schiller dénonce cette « oligarchie financière » et propose une nouvelle architecture financière mondiale, inspirée de Bretton Woods.
  • Février : Interviewé par Joseph Ford Cotto sur San Francisco Review of Books, Lyndon LaRouche lance un défi à l’alors président américain Donald Trump, désireux d’investir 1000 milliards de dollars dans son économie. LaRouche avertit alors que sans substituer un système hamiltonien au système de libre-échange, aucun président, fût-il de la meilleure volonté, ne parviendrait à relancer l’économie.
  • Mai : Alors que se dessinait toujours mieux l’alternative entre la géopolitique et la coopération promue par la Chine, Helga Zepp-LaRouche, appelle le président Trump à participer au Forum « Ceinture et Route » organisé à Pékin les 14 et 15 mai. Invitée à ce Forum, Helga Zepp-LaRouche a pu participer aux échanges et revenir sur la mobilisation de l’Institut Schiller depuis les années 80 pour un pont terrestre mondial.
  • Juin : Le Forum du mois de mai ayant rencontré un franc succès, Helga Zepp-LaRouche, déjà connue en Orient comme « Madame Routes de la Soie », apparait aux médias chinois comme une pionnière d’un monde multipolaire où le développement économique doit être nécessaire et mutuel.
  • Juin : L’insécurité alimentaire s’aggravant dans beaucoup de pays africains mais aussi au Yémen et en Syrie, l’Institut Schiller a organisé une conférence à Manhattan dans le but d’inciter Chinois et Américains à coopérer pour mettre fin à l’insuffisance alimentaire dans le monde.
  • Octobre : Dénonçant, dans le même temps, le régime des sanctions internationales, l’Institut Schiller a été officiellement remercié par Hisham Sharaf, ministre des affaires étrangères du Yémen, pour son combat pour un monde gagnant-gagnant.
  • Octobre : Dans le prolongement du Forum « Ceinture et Route » du mois de mai, un sommet sino-européen s’est tenu à Paris. Présidé par l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, le « Davos asiatique » a été soutenu par les autorités chinoises et françaises et a donc constitué une occasion heureuse de souder des rapports de partenariat entre l’Europe et la Chine, ce qu’ardemment promeut l’Institut Schiller.
  • Octobre : Défenseur du nucléaire en tant que projet de société, l’Institut Schiller se réjouit lorsque le Premier ministre indien, Narendra Modi annonce une augmentation de la part du nucléaire dans le mix énergétique indien afin de mettre un terme à l’absence d’électricité dans les foyers, trop fréquente alors dans certaines régions du pays.
  • Octobre : Lancées les premières tentatives de destitution du Président Trump, l’Institut Schiller y voit directement une menace pour la démocratie américaine et dénonce d’emblée le rôle néfaste des Mueller et autres serviteurs de l’oligarchie financière.
  • Novembre : Pierre Bonnenfant, ancien chercheur au CNRS, affecté à l’Institut de Recherches et d’Études sur les Mondes Arabes et Musulmans, intervient lors de la conférence de l’Institut Schiller du 2 novembre pour évoquer la crise yéménite et en proposer des portes de sortie.
  • Novembre : Sébastien Périmony, spécialiste de l’Afrique moderne et post coloniale, intervient à la conférence de l’Institut Schiller pour évoquer le progrès industriel de beaucoup de pays africains ainsi que le développement promu par certains d’entre eux. Il rappelle aussi l’échec des partenariats post indépendance tels que « Commonwealth » et « Françafrique », en termes de développement économique et de renforcement de l’amitié européo-africaine.
  • Novembre : Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France dans le monde arabe, en Afrique et en Amérique latine, intervient à la conférence de l’Institut Schiller pour évoquer, dans les détails, l’intégration des pays orientaux et africains aux projets de l’initiative OBOR (One Belt One Road).
  • Novembre : L’Institut Schiller salue la rébellion de la Chine refusant les décisions du Consensus de Washington à son égard.
  • Décembre : Alors célébré par les élites européennes, Robert Mueller, ancien directeur du FBI, voit son image ternie de l’autre côté de l’Atlantique par de nouvelles révélations.

2018

  • Janvier : Les tensions entre grandes puissances, surtout entre la Chine et les États-Unis en ce début d’année font craindre le risque d’une guerre thermonucléaire. La présidente de l’Institut Schiller, Helga Zepp-LaRouche a donc souhaité que l’année 2018 marquât la fin de la géopolitique et le début de relations fraternelles, ou du moins amicales, entre les peuples. À cet effet, elle rappelle l’importance des Nouvelles Routes de la Soie, comme première étape vers ce progrès.
  • Janvier : Pour ses efforts, Mme LaRouche voit même l’un de ses articles d’octobre 2017 publié dans le journal chinois de langue anglaise : Silk Road Information pour le service de Xinhua.
  • Février : En plein milieu de la présidence Trump aux États-Unis, les Américains voyant d’un mauvais œil les progrès de la Chine encouragés par l’Institut Schiller, le « China bashing », ce feu de propagande antichinoise, souffle ses braises dans tout le monde occidental, ce qui a permis à l’Institut Schiller d’en expliquer les dynamiques en jeu.
  • Février : Promoteur également de la R&D, l’Institut Schiller s’intéresse aux petits réacteurs modulaires nucléaires dits « SMR ».
  • Février : À Abuja (Nigeria) se tient une conférence sur le Lac Tchad à l’issue de laquelle ont repris les études de faisabilité pour le projet de remise en eau du Lac, défendu par l’Institut Schiller depuis plusieurs décennies. L’Institut Schiller a même pu présenter, lors de cette conférence, ses propres recherches sur le projet en question.
  • Mars : L’affaire Skripal utilisée comme vecteur pour un « Russia bashing », l’Institut Schiller expose les implications géopolitiques de l’affaire et dénonce les déclarations violentes de certains Britanniques à l’égard de la Russie.
  • Mai : Cinq ans après le lancement de l’initiative « Une ceinture une route », l’Institut Schiller publie les chiffres sur l’augmentation des échanges entre les 72 pays membres de l’ICR.
  • Juin : Alors que les États-Unis implosent sous la présidence Trump, accusant les Russes d’ingérence lors des élections de 2016, l’Institut Schiller prouve que l’ingérence est britannique. En revanche, l’Institut Schiller démontre que l’Histoire tourne une page vers l’Est du monde et encourage l’occident à accompagner ce mouvement de bascule.
  • Juillet : L’Institut Schiller poursuit sa campagne d’incitations faites aux pays à adhérer à l’ICR, démontrant que l’intérêt des nations est bien plus noble que la géopolitique, et réside dans le développement mutuel. En outre, l’Institut Schiller déclare ouvertement que l’entreprise chinoise adopte un état d’esprit bien plus proche des fondateurs de la République fédérale américaine que les Américains modernes. Par conséquent, l’Institut Schiller insiste sur la nécessité de « faire coïncider les opposés ».
  • Août : À la veille d’un forum sino-africain (FOCAC) à Pékin, l’Institut Schiller incite la France à améliorer ses rapports avec l’Afrique.
  • Septembre : Dixième anniversaire de l’effondrement de Lehman Brothers, l’Institut Schiller se mobilise pour une véritable séparation des affaires bancaires.
  • Décembre : Par le gonflement artificiel de la dette et par l’effondrement des salaires, l’Europe décline doucement en cette fin d’année alors que de moins en moins de Chinois sont pauvres. Cette situation permit à l’Institut Schiller de sommer une dernière fois cette année les Européens à se ressaisir.

2019

  • Janvier : Jamais n’avaient été si importantes la somme des produits dérivés et les dettes d’entreprises qu’en ce début d’année 2019. L’Institut Schiller avertit donc d’emblée d’un risque, cette année-là, d’effondrement systémique. Dans le même temps, le mois précédent, le président américain Trump avait annoncé le retrait des forces américaines de Syrie, ce qui augurait potentiellement d’un début de processus d’une paix westphalienne dans la région ; paix encouragée par l’Institut Schiller.
  • Février : Le 12 février 2019 endeuilla l’Institut qui perdit son cofondateur, Lyndon LaRouche. Les découvertes et la capacité de ce dernier à élaborer des prévisions économiques à long terme n’ont jamais été reconnues dans son pays de son vivant et ont même été combattues mais ses nombreux amis dans le monde ont pleuré ce jour-là puis se sont remis au travail pour le triomphe de ses idées.
  • Mars : De plus en plus de pays rejoignent officiellement les Nouvelles Routes de la Soie (NRS) ; ce mois-ci, ce fut le tour de l’Italie. L’Institut Schiller a alors pu travailler avec les ministres italiens d’alors, architectes de cette adhésion. La France perd, quant à elle l’occasion d’intégrer pleinement l’initiative lors de la visite à Paris du président Xi Jinping du 24 au 26 mars.
  • Avril : Le journal Beijing Review en date du 16 avril 2019 publie un article de Helga Zepp-Larouche. Celle-ci donne une vision de ce que représente l’Initiative une Ceinture une Route et appelle les Européens, en particulier, et les Occidentaux, en général, à oublier leurs préjugés et à coopérer pleinement avec les Chinois.
  • Mai : Helga Zepp-LaRouche participe à la Conférence sur les civilisations asiatiques de Pékin et prononce un discours au Chongyang Institute for Financial Studies de l’Université Renmin de Pékin. Dans le même temps, les Américains s’embourbent dans le récit du « Russiagate », l’Institut Schiller ayant pourtant exposé les véritables sources de l’ingérence.
  • Juin : Ce mensonge du « Russiagate » détériore dangereusement les relations russo-américaines et l’Institut Schiller se mobilise pour appliquer le programme de feu Lyndon LaRouche sur la coopération entre états.
  • Juillet : Ce mois-ci marque le cinquantième anniversaire du premier pas sur la Lune. L’occasion pour l’Institut Schiller de participer à plusieurs manifestations afin de promouvoir la nécessité d’un projet politique impliquant l’exploration de l’univers, principe d’une survie réussie.
  • Juillet : Ce même mois, se tient à Nantes l’exposition géante « LaMerXXL » ayant attiré 40 000 visiteurs. Là, l’Institut Schiller a pu faire connaître les perspectives enthousiasmantes qu’offre le volet maritime de l’initiative chinoise « Une ceinture, une route ».
  • Août : Grâce à une politique de crédit dirigé, politique que l’Institut Schiller défend depuis toujours, la Bolivie d’Evo Morales sort officiellement une grande partie de ses citoyens de l’extrême pauvreté en quelques années, passant d’un des pays les plus pauvres de la région à un véritable pays dynamique. Un exemple que l’Institut Schiller demande de suivre. L’Institut fait également campagne contre le « China Bashing ».
  • Septembre : Toujours plus incontrôlables, les bourses et les grandes banques menacent de s’effondrer dans l’indifférence générale. Dégradées les relations entre grandes puissances, l’Institut Schiller continue sa campagne pour une coopération Ouest-Est.
  • Octobre : Helga Zepp-LaRouche, Jacques Cheminade et Odile Mojon participent au Forum Euro-asiatique de Xi’an où Madame LaRouche reçoit l’honneur d’en prononcer le discours inaugural.
  • Novembre : L’Institut Schiller organise une conférence à Wiesbaden pour évoquer le nouveau paradigme, évocation légitime après le retour de Chine de Helga Zepp-LaRouche du forum sur la coopération euro-asiatique. C’est aussi l’occasion de se souvenir, au sein de l’Institut Schiller, de son cofondateur Lyndon LaRouche, en l’honneur duquel a été entonné un concert.
  • Décembre : Préoccupé par la diffusion d’un virus inconnu aux alentours de Wuhan, l’Institut Schiller craint une épidémie à l’échelle mondiale.

2020

  • Janvier : Après l’assassinat politique du Général iranien Qassem Soleimani, le président russe Poutine exige d’urgence la réunion des cinq membres permanents du Conseil de sécurité. Cet appel est largement relayé par l’Institut Schiller et éhontément étouffé en Europe et outre Atlantique.
  • Février : le COVID-19 se rapprochant de plus en plus de l’Ouest, l’Institut Schiller commence à s’organiser dans la mesure où arriverait le pire.
  • Mars : L’Institut Schiller lance un appel sur l’urgence d’une solidarité internationale pour combattre et prévenir les épidémies.
  • Avril : Il organise sa première conférence en ligne. N’ayant auparavant jamais rassemblé autant de monde dans aucune conférence, cette première est un réel succès pour l’Institut Schiller.
  • Mai : L’actualité du nouveau coronavirus donne encore une fois raison à Lyndon LaRouche qui avait prévenu dès les années 70 (avant l’apocalypse du SIDA) que l’abandon physique des économies n’engendrerait que le pire infini, y compris le développement de nouvelles épidémies.
  • Juin : La nouvelle épidémie déclenchant l’effondrement des économies du monde entier, déjà affaiblies, rend visible un phénomène de masse, pourtant déjà réel avant : la paupérisation générale. Face aux millions de nouveaux pauvres devenus subitement sans toit, sans nourriture, l’Institut Schiller déclare l’état d’urgence, y compris l’urgence de coopérer à l’échelle mondiale.
  • Juillet : Répondant sincèrement aux déclarations de l’Institut Schiller, les Russes apprécient l’engagement de l’Institut. Celui-ci peut alors s’entretenir avec Boris Meshchanov, conseiller à la Mission de la Fédération de Russie auprès des Nations Unies.
  • Septembre : L’Institut Schiller organise une nouvelle conférence en ligne pour évoquer la situation aux États-Unis et appeler à une rencontre du Conseil de sécurité.
  • Novembre : Un an après les bonnes nouvelles du progrès économique bolivien, très vite atténuées par le départ forcé du président Morales, un coup d’État s’étant déroulé en Bolivie, l’équipe de Morales reprend le pouvoir ce mois-ci par l’accession à la présidence de Luis Arce.
  • Décembre : Alors que se préparent de grandes annonces au niveau européen, l’Institut Schiller prévient du danger de la « Grande réinitialisation » et proposa, lors d’une conférence, le projet bien plus noble de réaliser une nouvelle Renaissance.

2021

  • Février : Sébastien Périmony, représentant de l’Institut Schiller, et Yannick Caroff, représentant les Gilets jaunes constituants de la seine-Saint Denis, se sont rendus pendant une semaine au Mali pour participer à un sommet panafricain.
  • Février : Dans le même temps, Al-Amal (Émirats Arabes Unis), Tianwen-1 (Chine), Perseverance (États-Unis) atteignirent Mars (Perseveance) et son orbite (les autres).
  • Février : En même temps, Helga Zepp-LaRouche publie un communiqué annonçant la scission entre l’Institut Schiller et le Comité d’action politique Lyndon LaRouche dit aussi LaRouche PAC (LPAC), emmené par Barbara Boyd dans des considérations extrémistes, loin du pouvoir de raison.
  • Mars : L’Institut Schiller organise une conférence en ligne sur les actualités internationales et l’impératif spatial.
  • Avril : L’aggravation des conditions de vie syrienne et yéménite conduit l’Institut Schiller à demander l’arrêt des sanctions et la mise en place d’un plan de reconstruction de ces régions. L’Institut proposa lui-même les plans Phénix et Oasis.
  • Mai : Nouveau « webinaire », l’Institut Schiller lance le projet « Coïncidence des opposés » rassemblant toute autorité de bonne volonté capable de mettre de côté les différends, désireuse d’entamer un processus de développement mutuel dans tous les domaines, surtout celui de la santé. Ce mouvement pour la coïncidence des opposés est d’emblée rejoint par la célèbre « Administrateur de la santé publique américaine », Joycelyn Elders.
  • Juillet : Nouvelle grande conférence en ligne de l’Institut Schiller évoquant les tensions sino-américaines et américano-russes, ainsi que l’hyperinflation et les bonnes nouvelles d’Afrique.
  • Août : le 15 août signe le cinquantième anniversaire de la révocation des accords de Bretton Woods pour la réhabilitation desquels se bat l’Institut Schiller depuis toujours.
  • Août : En Afghanistan, quelques jours après le départ historique et chaotique des troupes américaines, l’Institut Schiller s’entretient avec Pino Arlacchi, ancien consultant de la « Direzione Investigativa Anti-mafia » (Direction de la lutte anti-mafia), président de l’IASOC (Association internationale pour l’étude du crime organisé) et président honoraire de la fondation Giovanni Falcone, du nom du juge palermitain (dont il était l’ami), assassiné par la mafia en 1992.
  • Septembre : L’Institut Schiller insiste sur la nécessité de laisser ses opinions concernant les Talibans afin que la communauté internationale dégèle les milliards de dollars, qui sont le fonds du peuple afghan, sans lesquels les citoyens et citoyennes afghans ne peuvent pas vivre. Là aussi, coïncidence des opposés.
  • septembre : Dans le même temps, l’Institut s’entretient avec Daisuke Kotegawa, ancien haut fonctionnaire au ministère japonais des Finances et ancien représentant du Japon au FMI, lors d’une conférence.
  • Décembre : De violents événements au Kazakhstan éclatent au début de l’hiver, ajoutant de la tension entre russes et américains, déjà extrêmement tendus et armés. Les deux puissances se rencontrent début 2022.

2022

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